10 octobre 1914 : Voilà deux semaines que Bernard n’a pas donné de ses nouvelles. Ses lettres ont le pouvoir de nous rassurer. Les écrire lui fait plaisir et nous avons plaisir à les recevoir. Il nous a raconté le voyage jusqu’au front, les peines que traverse son régiment, le combat contre l’ennemi de la patrie et la défense de notre territoire... Un lent cheminement vers la vérité tant redoutée.