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Livres numériques - ebooks Romans, Récits, Littérature Poésie Poésie contemporaine ebook - Le Cornet à dés (Tome 2). Note liminaire d'André Salmon
Livre numérique
de Max Jacob
Format : EPUB
Max Jacob avait l'idée de donner un second volume à son célèbre recueil de poèmes Le Cornet à Dés. Il avait, dans ce but, conservé beaucoup de manuscrits. Le présent ouvrage est composé, d'une part, de poèmes déjà publiés en revue (mais jamais en librairie), d'autre part, de très nombreux inédits.
Que sont ces poèmes du second tome, hélas posthume, du Cornet à Dés II ? Des annotations pleines de fantaisie, grâce auxquelles on pénètre dans le domaine mystérieux de la poésie moderne.
"On trouvera ici, dit André Salmon dans sa note liminaire, mêlés à des textes anciens, des textes plus récents et qui se donnent tout de suite pour tels, par exemple le Ni Riche ni Pauvre qui nous révèle l'emploi que Max Jacob eût voulu faire de la richesse : acheter toutes "les maisons de la place devant l'abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire pour que la Société des Monuments Historiques ne les abatte pas par politesse pour saint Benoît sous le prétexte qu'elles sont trop pauvres. Outre qu'il y a là, dans ce peu de lignes, mille traits profonds de l'esprit de Max".
Max Jacob avait l'idée de donner un second volume à son célèbre recueil de poèmes Le Cornet à Dés. Il avait, dans ce but, conservé beaucoup de manuscrits. Le présent ouvrage est composé, d'une part, de poèmes déjà publiés en revue (mais jamais en librairie), d'autre part, de très nombreux inédits.
Que sont ces poèmes du second tome, hélas posthume, du Cornet à Dés II ? Des annotations pleines de fantaisie, grâce auxquelles on pénètre dans le domaine mystérieux de la poésie moderne.
"On trouvera ici, dit André Salmon dans sa note liminaire, mêlés à des textes anciens, des textes plus récents et qui se donnent tout de suite pour tels, par exemple le Ni Riche ni Pauvre qui nous révèle l'emploi que Max Jacob eût voulu faire de la richesse : acheter toutes "les maisons de la place devant l'abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire pour que la Société des Monuments Historiques ne les abatte pas par politesse pour saint Benoît sous le prétexte qu'elles sont trop pauvres. Outre qu'il y a là, dans ce peu de lignes, mille traits profonds de l'esprit de Max".
