Ce petit roman joue sur le quiproquo chine/Chine. Pour l'héroïne de cette histoire, chiner signifie se rendre en Chine, en quelque sorte faire un voyage dans l'inconnu. D'abord étonnée de découvrir la réalité de la chine, Perrine va se trouver finalement ravie par sa découverte. Perrine est réveillée brutalement par ses parents un dimanche matin, aux aurores. Que se passe-t-il ? Ses parents lui annoncent que toute la famille va passer le dimanche en chine. Malgré son peu d'enthousiasme, Perrine n'a guère le choix et doit suivre le mouvement. Sa réticence grandit quand elle comprend que la chine consiste à s'extasier sur des vieux objets pleins de poussière. Elle changera d'avis quand elle va découvrir une magnifique poupée en porcelaine. Ce petit roman plein de fraîcheur nous fait voyager dans l'histoire des jouets, témoins de l'évolution de l'humanité depuis l'antiquité.