Intemporelles : voilà qui qualifie d'emblée de jeux ces deux pièces de théâtre, sorties de leur torpeur. Mais nous irons encore plus loin : non contents de réveiller ces belles endormies, force est de constater qu'elles sont, à l'instar des autres oeuvres de Jean-Paul Rosart, d'une finesse sertie d'intelligence, brillantes d'actualité. Reste à savoir, maintenant, qui a tué la poupée...