M. Diller relève que dans ses diverses réactions, Froissart a récrit certains épisodes, non seulement pour en modifier le style mais pour les raconter selon un autre point de vue. Son admiration pour la chevalerie, par exemple, devient de plus en plus une attitude formelle, une sorte de façade à maintenir, alors que l'auteur suit avec toujours plus d'attention le jeu des intérêts, la "Realpolitik".