"De l’anglais ancien à l’anglais moderne : un mouvement du synthétique à l’analytique ?" - tel était le titre du colloque de diachronie organisé à Tours en mars 2000. Ce colloque venait s’ajouter à une liste déjà longue d’autres manifestations, une histoire commencée à Poitiers avec Jean-Louis Duchet et poursuivie à Paris III avec Annie Lancri (cf. les Travaux de diachronie n° 1) sous les auspices de l’ALAES une histoire de linguistes donc, enrichie de la participation des médiévistes anglicistes (AMAES). 2A Tours, les deux journées consacrées à la diachronie s’étaient fixé deux buts : à la fois assurer une formation dans le domaine et réfléchir sur les enjeux théoriques des phénomènes décrits.