La reine Ti-so-la-é (Aurore des yeux) s'ennuie ; elle rêve d'indépendance et de liberté. Avec la complicité d'un sage, elle imagine s'évader par la voie des eaux vers moins d'obligations et de contraintes.
Publiée en 1911 et écrit pour distraire les cousines de l'auteur, le conte « japonisant » est perlé de sous-entendus codés et expliqués dans l'Avertissement de Georges Normandy.